Qui suis-je ?

Fabienne Logez

Votre praticienne et coach en bien-être

Je m’appelle Fabienne Logez, j’ai 55 ans et ma vie n’a pas été un long fleuve tranquille. Je suis née en 1965 et je suis l’aînée d’une famille de 4 enfants. Pour la faire courte, car je pourrais écrire un livre sur mon vécu, je vais vous donner les dates importantes et leurs événements.

1982 : ma mère me met à la rue avec juste 2 sacs d’habits (j’ai 17 ans).

1985 : j’ai 20 ans, je me marie et donne naissance à mon fils.

1987 : je perds mon 1er bébé, enceinte de 7 mois.

1988 : Je donne naissance de ma fille.

1989 : je fais une fausse-couche le 9 décembre et mon petit frère décède le 11 décembre.

1994 : mon mari décide de se lancer dans l’artisanat comme peintre en bâtiment, et je me retrouve à l’aider. J’ai été la 1ère femme à me rendre en réunion de chantier, le métier est hypermacho, les autres corps de métier m’en font voir de toutes les couleurs. J’ai souffert durant plus de 2 ans malgré l’humiliation, les coups bas et les tentatives (je vous laisse deviner). Quand enfin, je fus acceptée dans le milieu.

2001 : je perds mon 2e frère le 18 avril et ma mère le 8 juillet.

2004 : je crée deux sociétés une en peinture bâtiment et une en nettoyage en janvier. En mai de la même année, mon mari se retrouve en liquidation judiciaire. Je dois tout subir, le tribunal, le mandataire, la clôture de sa société et la mise en vente judiciaire de notre maison. Et je dois développer mes 2 sociétés, m’occuper des enfants et de la maison.

2008 : grave accident de voiture, gros coup dur.

1ère prise de conscience car :

Pas un coup de téléphone de mon mari pour prendre de mes nouvelles et quant à 20h on me dit que je peux sortir, là je vois ma sœur arriver, je suis déçue et me dis que je ne suis pas si importante que ça à ses yeux, juste bonne à tout faire pour que tout aille pour le mieux pour lui et les enfants, moi je ne compte pas. Bizarrement, mes mains chauffent beaucoup.

2009 : suite à l’accident, je me retrouve avec une grosseur derrière la tête, le spécialiste décide de me la retirer, je lui demande une anesthésie locale, car je ne peux pas m’arrêter de travailler. Le jour de l’opération, c’est ma fille qui me dépose à l’hôpital. Quand je suis sur la table d’opération, une fois que le spécialiste à ouvert il s’exclame : “AU M…. C’EST PLUS GROS QUE CE QUE JE PENSAIS J’ESPÈRE QUE CE N’EST PAS UNE TUMEUR.”

Gros coup de massue, que m’arrivait-il et là se rendant compte que j’avais tout entendu, le spécialiste rajoute : “NE VOUS INQUIETEZ PAS SI C’EST GRAVE VOUS SEREZ FIXÉ DANS 48H.”

Là je ne sais plus quoi faire, dois-je le dire à mon mari ? Non, de toute façon, il ne m’a rien demandé de l’opération donc je garde pour moi, je ne fais que penser à ce que je devrais faire s’il devait m’arriver quelque chose, penser à toutes les démarches à faire pour bien sûr que lui et les enfants ne soient pas ennuyés avec tous les papiers. Les pires 48h de ma vie, pas de coup de téléphone de l’hôpital, je me sens revivre, j’avais une 2e chance, mes mains chauffaient toujours et même un peu plus, mais pourquoi ?

Ce jour-là, je décidais : MA VIE VA ÊTRE COMME JE VEUX QU’ELLE SOIT.

• FINI DE SUBIR
• FINI DE TOUS FAIRE
• FINI DE NE PENSER QU’AUX AUTRES ET PAS À MOI
• FINI DE DIRE TOUJOURS OUI À TOUT
• FINI DE TOUT GÉRER À LA MAISON

À PARTIR DE CE JOUR, JE CHANGE TOUT, JE DIS BIEN TOUT.

Le soir en rentrant du travail, je dis à mon mari qu’à partir d’aujourd’hui, il devait commencer à s’occuper de certaines choses, qu’il devait me montrer et me prouver qu’il tenait à moi et que j’étais sa femme, pas sa mère ou son amie. Je ne sais pas s’il a eu peur ou s’il n’a pas compris ou s’il s’en foutait toujours, est-il que rien ne changea de son côté.

2011 : Du fait que je gardais tout en moi, que je ne parlais pas de mes problèmes, je commençais à me détruire intérieurement. En mars, je fais une hémorragie et je dois subir une intervention chirurgicale. Fin juin nous partons quinze jours en vacances, je lui dis que ce sont les vacances de la dernière chance. Je voulais qu’il se charge de la préparation (mais j’avais tout fait avant). 15 jours d’hôtel, pas une sortie, pas une activité, pas une visite, rien de rien j’ai passé les plus tristes vacances de ma vie. Dès notre retour, j’annonce mon désir de divorcer, il ne me comprend pas et ne comprend pas pourquoi.

Le stress, l’angoisse, je devais tout garder pour moi. Fin juillet, je refais une hémorragie. Mon gynécologue me dit : « je ne sais pas ce qui se passe dans ta vie, mais si tu ne fais pas quelque chose rapidement, je ne donne pas chère de toi. »

Ok j’avais compris, cette fois j’allais appliquer ce que je me mettais promis, il fallait que je change, maintenant pas demain, non maintenant. Je fis mes valises et je quittais la maison. Mes mains recommencèrent à chauffer, je ne comprenais toujours pas pourquoi. Je décidais enfin de m’occuper de moi et juste de moi, je commençais à lire des livres sur le développement personnel, à écouter des tutos sur YouTube, et la, révélation sur mes mains. J’avais du magnétisme qui ne demandait qu’à être exploité. On va me prendre pour une dingue, une illuminée, je ne dis rien après tout ce n’est pas important.

Une collaboratrice se bloque le dos, je lui demande si je peux l’aider, je me frotte les mains et je la masse. Elle est soulagée et me dit que j’ai des mains magiques. Par la suite, j’aide plusieurs personnes sur différentes problématiques telles qu’entorse, sciatique, inflammation, mal de dents etc…

Je continuais toujours mes lectures et je changeais certaines choses en moi sans m’en rendre compte.

2015-2017 : sur ces 2 ans j’ai dû subir 4 opérations, les 2 épaules et les 2 coudes.

Là c’est mon corps qui m’alerte, mais je ne comprenais encore pas. En septembre 2017, la médecine du travail me met en inaptitude totale. Gros coup de massue, on me dit que je ne suis plus bonne à rien, que je ne peux plus rien faire et la mise en invalidité venait confirmer leurs dires. Une dépression puis une grosse remise en question, il fallait que je comprenne.

J’ai commencé à méditer tous les jours, puis je me suis formée sur le magnétisme, pour le comprendre et je commence mes vrais 1er soins. Je me sentais enfin moi, je vivais enfin ce que je devais vivre, j’étais sur ma mission de vie. J’ai ensuite entrepris un gros travail, je devais me libérer de toute la colère, de toute l’amertume, de toutes les blessures que j’avais au plus profond de moi. Quelle liberté, enfin j’étais moi, authentiquement moi.

J’ai fait des formations en massages où mon magnétisme c’est encore plus développé et des formations en réflexologie. J’ai passé un diplôme de niveau 1 en psychothérapie, un autre en coaching pour la méditation.

Depuis 2017, je suis vraiment dans ma mission de vie. Au fil de mes consultations en magnétisme, une constatation vient à moi que je ne voulais pas voir de suite, mais l’Univers c’est bien chargé de me la montrer. En méditation et en consultation j’entends mes guides. Lors d’un soin, mon guide me souffla « cette personne n’est pas bien, elle souffre intérieurement, elle souffre de ne pas avoir confiance en elle et tu peux l’aider.”

Mais oui c’était ça, ce que je devais faire.

Et depuis ce jour béni, ma mission en plus de mes soins en magnétisme est : J’aide les personnes qui ne se sont pas senties aimées à prendre leur vie en main, en recevant toute la douceur et la tendresse qu’elle mérite, pour prendre leur place dans le cadre familial. Tu deviendras une personne confiante avec une plus grande authenticité et tu pourras t’exprimer plus facilement avec ton entourage.

C’était tellement évident, avec tous ce que j’ai vécu, la force de mon caractère, les décisions que j’ai prises, la création de ma vie idéale. Je suis qualifié pour apporter de l’aide aux personnes qui viennent vers moi, je le fais naturellement depuis toujours. Voilà donc pourquoi mon expérience de vie me permettra de vous aider.

Pas à pas, je serai à vos côtés.

Avec moi, vous arriverez à reprendre toute la confiance qu’il vous manque afin de faire ressortir votre véritable authenticité et vous serez maître de votre vie.

Avec toute ma bienveillance,

Fabienne